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Selon AvtoVAZ, l’essentiel est de coller aux principales tendances du marché, de trouver des niches inoccupées et de fournir à l’acheteur ce dont il a réellement besoin.

A titre d’exemple, on peut prendre la Lada Largus qui était auparavant produite en Europe par la marque low-cost Dacia. Ce break est le premier développement conjoint entre AvtoVAZ et Renault-Nissan. Bien sûr, la confiance dans la voiture a été inspirée par le fait qu’elle est basée sur une voiture étrangère et un stéréotype bien connu, qui heureusement se rencontre de moins en moins souvent, dit que tout ce qui est étranger est définitivement meilleur que ce qui est russe.

« Un prix russe et un pedigree étranger sont des arguments qui ont plaidé en faveur de l'achat » explique Stas Bereziï, du service de presse d’AvtoVAZ, soulignant que l’acheteur était prêt à faire la queue pour s’acheter ce break au design archaïque. En d’autres termes, après avoir analysé le marché, AvtoVAZ a élaboré un modèle qui était réellement nécessaire.

Actuellement, la gamme Lada Largus se compose de modèles à cinq et sept places, d’une version cross et d’une fourgonnette. Récemment, les ventes de la Lada Largus CNG, une version bi-carburation pouvant rouler à la fois à l’essence et au méthane, ont débuté.

Le lancement du break Lada Vesta SW, comme le dit Stas Bereziï, est également une réussite : ce sont les versions les plus richement équipées, dont les prix avoisinent 800,000 roubles, qui sont en tête des ventes. Pour ce prix, on peut acheter une voiture étrangère mais les acheteurs choisissent la Lada.

La Rossiïskaïa Gazeta avait précédemment indiqué que la Lada Vesta avait établit en mars un record en termes de ventes.

Lu sur : https://rg.ru/2019/04/15/lada-obiasnila-za-chto-liubiat-largus-i-vesta.html
Adaptation VG

Tag(s) : #Lada, #Largus, #Vesta, #Marché, #Economie