Un Américain et Russe débattent entre eux de savoir lequel à la voiture la plus rapide. L’américain roule dans une Ford Mustang dernier modèle et le russe dans une vieille Moskvitch-412.
Naturellement c’est la Mustang qui est la plus rapide mais le Russe insiste :
- « Je ne suis pas de bonne humeur aujourd'hui,mon Gars, je vais revenir et vais te montrer quelle est sa vitesse réelle ».
Bien entendu, l'Américain est sûr de lui :
- « OK, very good, ma Mustang est prête à prouver à tout moment qu’elle est la meilleure »
La date de la prochaine rencontre est fixée exactement une semaine plus tard, ce qui ne laisse pas beaucoup de temps au Russe. Il faut préciser que le conducteur de la Moskvitch n’a aucune expérience dans les voitures de sport, ses connaissances se limitant au fait que les Ferrari sont des voitures très rapide et c’est pourquoi Schumacher est un très bon pilote.
Il emmène donc le miracle de l’ingénierie soviétique au garage et demande à son mécanicien :
- « Je n’y connais rien mais je vous donne 5,000 roubles. Mettez-moi n’importe quelle pièce de Ferrari sur ma Moskvitch pour qu’elle devienne aussi rapide qu’une fusée ».
Le jour fixé, le mécanicien ramène au Russe sur une dépanneuse la Moskvitch transformée en machine de compétition :
- « Qu’est-ce qu’elle a maintenant d’une Ferrari ? ».
Ce à quoi le mécanicien répond :
- « J’ai monté un moteur neuf de Ferrari 458 Spider ».
Plein d’enthousiasme, le Russe saute dans la voiture et démarre le moteur, certain que la victoire est dans sa poche. Trépignant d’impatience, il appelle même l’Américain disant qu’il est prêt à l’affrontement. Ce dernier ricane au bout du fil, il semble qu’il reste confiant en sa victoire.
Le jour de la confrontation, le Russe enclenche la première d’un coup sec et la voiture démarre. Après une centaine de mètres, la Moskvitch passe toute seule la marche arrière et revient sur la ligne de départ. Perplexe, le Russe passe de nouveau la première et écrase la pédale d’accélérateur. Comme à la première tentative, la voiture recule pour se replacer sur la ligne de départ.
Après avoir réessayé plusieurs fois, l’homme en colère retourne voir son garage pour se plaindre à son mécanicien :
- « Mais qu’est-ce que vous avez mis comme moteur pour qu’elle revienne toujours en arrière ? »
Et le mécanicien de rigoler :
- « Avec ce que vous nous avez laissé comme argent, nous n’avons pu qu’acheter un moteur d’essuie-glaces de Ferrari ! ».
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Adaptation VG